Faire Alliance pour un Nouvel Accompagnement à l’entrepreneuriat fertile.
 

Les réflexions écologiques mettent les externalités (structure de coût cachés de la pollution, déforestation, recyclage, etc …) au coeur des réflexions collectives.
Les coûts cachés de la recomposition du monde du travail méritent une approche particulière.

Ici, des approches réfléchies et personnalisées permettent aux cadres comme aux salariés de faire des choix lucides.

Là, les Plans sociaux comptent de nombreuses primes pour se lancer, renforçant la précipitation, là les ruptures conventionnelles peu raisonnées accroissent l’illusion d’une reconversion facile dans l’entrepreneuriat, ailleurs c’est le salarié ou cadre qui laisse le soin à Google et youtube de l’orienter….

Raisonner son orientation entrepreneuriale en seulement 3h, 10h ou parfois 24 heures permet à 40 % des porteurs de projets de modifier de manière substantielle leur orientation (source observatoire fnpae-pépinium).

La précipitation est le 1er risque de démultiplier les entrepreneurs « contraints, solitaires et illusionnés » au détriment de porteurs bien préparés, mâtures, lucides et investis sur un projet marketing solide et partagé en équipe.

La France a besoin de faire naitre chez les entrepreneurs plus de chef(fe) d’entreprise (même solo).
Changer de posture, s’engager, élevé sa culture préalable et déployer sa posture,  prendre des risques mesurés est la réponse à l’industrialisation des accompagnements (au Pôle emploi comme dans les grands Cabinets) et la démultiplication des formations sous CPF sans réflexion préalable.

C’est un métier passionnant, complexe, nouveau à fort enjeu (50 000 emplois à sauvegarder ou créer)

A l’initiative d’Alain CHABRO, un groupe  finalise, enrichi, amende, contredit quelques premières pistes de réflexion. C’est ouvert !!!!

Principe : produire une réflexion collective, trans-partisane, ancrée sur le réel et détaché des communications sensationnelles du moment.

Parmi les premiers axes de travail, une charte que nous pourrions tous,  praticiens en pédagogie de la transition entrepreneuriale  compléter, signer et promouvoir.

PISTES DE REFLEXION EN COURS :

Nous signataires, nous engageons auprès des porteurs de projet à viser en premier lieu la pérennité de leur projet en maximisant leur épanouissement professionnel, personnel et social.

Nous signataires, nous engageons auprès de tous les postulant à l’entrepreneuriat, qu’ils soient contraints, entrepreneurs « par nature », « incités » par les publicités et … porteurs d’une belle idée à concrétiser.

Nous signataires, nous engageons sur

  • le respect de la diversité des modèles d’entrepreneuriats : aucun n’est supérieur à un autre, tout pro doit les connaître
  • la recherche de pleine lucidité du porteur avant qu’il/elle investisse : un entrepreneur n’est ni un consommateur ni un subordonné, il/elle s’implique sur des enjeux formidables et complexes dont il/elle peut avoir conscience. Le diagnostic préalable des risques et potentiels personnels doit être réalisé avant toute Allocation ARCE ou Prêt d’Honneur.
  • le professionnalisme global d’une orientation entrepreneuriale :  la Personne, ses Ressources Humaines associées,  ses validations de modèle entrepreneurial et de marchés sont prioritaires  avant les assurances, souvent fausses, des tests psy ou enquêtes sur Internet.
  • favoriser la biodiversité des accompagnements : substituer aux actuels fonctionnement en silo (chacun se garde son créateur 😉 ) l’intelligence collective d’expertises en sciences humaines, marketing, comptabilité, technologies, finances, juridiques, via des modèles de suivis partagés et collaboratifs (cf offre FNPAE)…
  • une orientation préalable indépendante : le professionnel de transition entrepreneuriale n’a pas pour fonction de capter un futur client ou bénéficiaire.
  • people first privilégier les recommandations vers des personnes physiques (salariées ou non) dûment accrédités qualité sur leur champs de compétence plutôt que les renvois vers des structures anonymes.

Par ailleurs, la réponse à la crise actuelle n’est sans doute pas d’avoir « plus de créations » en soi, venant souvent concurrencer à bon compte des TPE / PME déjà fragilisées mais :

  • le renforcement des TPE / PME actuelles :  via l’entrée d’associés nouveaux (à rendre éligibles aux dispositifs ARCE et Prêts d’Honneur), l’incubation de projet (Contrat CAPE),
  • la reprise d’entreprise en associant aux validations comptables, financières et juridiques, les indispensables audit des facteurs humains, marketing et commerciaux des entreprises et la juste formation au management des repreneurs.
  • la puissance de la création « à plusieurs » : notamment la complémentarité des générations, les formes coopératives ou la valorisation des associés minoritaires et leurs éligibilités aux dispositifs ARCE et Prêts d’Honneur.

Rejoignez le Mouvement !

Les pistes d’action ci-dessus, font écho à votre pratique et vos aspirations ?
Vous voudriez participer à leur mise en oeuvre, leur promotion ou …  leur enrichissement ?
Faire valoir un point de vue nouveau ou différent ? (C’est aussi être contributeur !)

Veuillez saisir votre email vous recevrez l’accès au groupe :

    Passons derrière le miroir …

    Derrière les concours de pitch, publicités tapageuses et injonctions à devenir « tous « entrepreneurs » ou « startupeur » le monde du travail et le lien social évoluent.
    Les injonctions de RSE des entreprises en matière de recyclage du papier, des plastiques et autres polluants, se diluent dès lors qu’il s’agit de … reclasser les salariés en entrepreneurs. (le récent document RSE de l’ANDRH n’y fait pas référence)

    Les financement publics de la création (Pôle Emploi, régions et Banque Publique) soutiennent-ils la pérennité des nouvelles entreprises ou l’activité des banques, experts en comptabilité, prestataires du Web, formations techniques ou sous-traitants ? Sont ils investi dans le développement de posture de plus chefs d’entreprise ? 20 % de créateur portant plus haut leurs ambitions porterait à 50 voire 70 000 employeurs de plus.

    Pourquoi les nombreuses alternatives à la création en « solo risquée » sont si peu pratiquées ? La maturité des créations et leur bien fondé ne devraient ils pas être les premiers critères avant le nombre (640 000) d’exsalariés passant à coté des chances de développer leur talents entrepreneuriaux ?

    Entreprendre est une chance, un droit !  Un défi, une somme d’exigences, des difficultés aussi. L’acheteur de maison est protégé par le diagnostic immobilier. L’acheteur automobile par le diagnostic technique. Le salarié par le droit du travail. Pourquoi les créateurs restent bercés de l’illusion du « statut bien choisi » et des aides acquises et ne réclament ils pas le droit à être bien formés par des professionnels formés et … désintéressés 😉

    Rejoignez le Mouvement !

    Les pistes d’action ci-dessus, font écho à votre pratique et vos aspirations ?
    Vous voudriez participer à leur mise en oeuvre, leur promotion ou …  leur enrichissement ?
    Faire valoir un point de vue nouveau ou différent ? (C’est aussi être contributeur !)

    Veuillez saisir votre email vous recevrez l’accès au groupe :

      Rejoignez le Mouvement !

      Les pistes d’action ci-jointes, font écho à votre pratique et vos aspirations ?
      Vous voudriez participer à leur mise en oeuvre, leur promotion ou …  leur enrichissement ?
      Faire valoir un point de vue nouveau ou différent ? C’est aussi être contributeur !

      Veuillez saisir votre email vous recevrez l’accès au groupe :