Le tiers de confiance entrepreneurial,
un rôle fondamental au service de la transition entrepreneuriale responsable

La diversité des formats d’entrepreneuriat créé aujourd’hui de fortes opportunités pour les vendeurs de solutions numériques, formation, accompagnements, incubation, couveuses, financement.

Les ex-salariés s’y retrouvent-ils pour autant ?

Le ridicule des campagnes vantant les « super-héros entrepreneurs » pour servir la belle image de tel ou tel banquier, éditeur de logiciel ou site web, …devient évident.

77% des entrepreneurs créaient et démarraient seuls avant la crise. Or, la pérennité est aujourd’hui officiellement comptabilisée sur 3 ans seulement …

Pourtant, Il faut du temps pour entrer dans le nouveau costume d’entrepreneur.
Une fois passés les allègements fiscaux et autres subventions utiles pour démarrer, tenir dans la vie réelle, est passionnant et exigeant.
L’entrepreneuriat réel est le terrain des acteurs de l’accompagnement responsable à Transition entrepreneuriale.

Pus de 20 manières d’entreprendre existent. Ici elles participent vraiment au renouveau du tissu économique et social. Là  elles évitent aux technostructures les contraintes sociales .. Là elles contournent les limites d’action liés aux réglements tatillons, procédures technocratiques des acteurs publics ou subventionnés là, elles donnent à des talents réels l’opportunité de s’épanouir hors des structures trop hiérarchisées ou boursicotées.

Les accompagnants qui n’auraient pas la juste vision du réel (absence d’expérience en entreprise entreprenenante, dépendance excessive d’un sponsor / subventions, manque de formation, ...) deviennent le jeu de lobbying bien ficelés.

Les tiers de confiance entrepreneuriaux, définisent la Transition entrepreneuriale responsable selon des critères de pérennité économique mais aussi de satisfaction au travail, de préservation des liens sociaux et de la santé au travail.

Revenons à la base :

Entreprendre : acte de prendre le risque d’investir (argent, temps, énergie, compétences, relations) pour d’anticiper (ou provoquer) une relation de vente (de produits, services ) avec un public cible qui assurera à l’entreprise et l’entrepreneur par une bonne gestion les ressources (finances, temps, énergie, relations, compétences) de :
* Rembourser les investissements
* Payer les charges
* Rémunérer le travail (dirigeant / équipes)
* Préparer l’avenir (rose ou noir …)
* Rémunérer les risques…

Entreprendre doit être « intégral »  dans ses 3 dimensions :
– le développement économique (la création ou captation de valeur)
– le changement individuel (la mutation humaine et sociale)
– la responsabilité managériale (le pilotage organisationnel et sociétal)

Cet entrepreneuriat intégral suppose donc de décider et d’agir en pleine conscience des transformations personnelles, sociales et familiales que provoque le passage à une exposition complète aux risques et la responsabilité des actes.

=> 1ère mission pédagogique du tiers de confiance entrepreneurial avec des outils de coaching ou d’assessment spécifiques

Il/elle invite les créateurs dopés à la publicité de ne plus surjouer les facilitations de démarrage.
Il/elle invite à engager la dimension managériale, du pilotage de projet et d’équipe, de l’éthique de responsabilité et l’engagement sociétal, y compris dans les créations individuelles.

Accompagnement : Action de cheminer aux cotés dans des phases d’évolution du projet par des entretiens réguliers sur une période suffisamment longue pour que les bénéfices
puissent être constatés ou les correctifs identifiés.
L’accompagnement entrepreneurial est pluridisciplinaire (management, ressources humaines, marketing, gestion, juridique, financier, comptable, …) et se distingue de l’expertise à laquelle l’entrepreneur fait également appel.

Le tiers de confiance entrepreneurial permet à l’exsalarié/cadre  de distinguer la promesse d’accompagnement de … la prestation ponctuelle (qu’elle relève de la formation, du conseil, de l’expertise ou du coaching)

=> 2ème mission du tiers de confiance entrepreneurial de conforter le/la futures(e) entrepreneur dans sa juste démarche et posture, conforter aussi le financeur quant au caractère responsable de cette transition entrepreneuriale.

Là où les experts, prestataires ou financeurs agissent de manière verticale, l’accompagnement à l’entrepreneuriat se situe dans une démarche de lien entre plusieurs disciplines.

Ceci concoure à rendre l’entrepreneur authentiquement autonome (apte à se poser lui même les bonnes questions ou initier ses adaptations).

Le tiers de confiance vient attester de cett dynamique de développement de l’intelligence entrepreneuriale qui est le coeur de la transition entrepreneuriale responsable.

La FNPAE s’est concentrée sur ces enjeux.

Aux bénéfices d’accompagnants ou prestataires de la création soucieux d’exercer leur métier de manière efficace et responsable.

et … des futurs créateurs conscient que la marchandisation de leur rêve d’autonomie ou de reconnaissance est un risque.

Face à l’engorgement de leurs structures (sous contraintes budgétaires ), les réseaux traditionnels de l’accompagnement peuvent se concentrer sur des porteurs de projets en appétit réel d’être accompagnés.
Ils mettent en action leurs principes éthiques en laissant aux seuls acteurs friands de quantité, de clics et de like Facebook, l’exploitation de la crédulité des créateurs.

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