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La FNPAE interviendra lors de l’atelier consacré aux questions de certification.
Une mobilité professionnelle, une orientation vers une formation ou une nouvelle fonction en entreprise peut-elle se réaliser de manière qualitative et pérenne par le seul truchement de l’internet ou du numérique ?
Nous avions posé cette question lors de l’ouverture des assises 2018 du capital humain entrepreneurial.
Pas un seul des participants n’avait répondu positivement…
Le numérique facilite la circulation d’informations, l’accès à la connaissance et aux formations. Il réduit les limites géographiques et facilite la rencontre et les échanges on-line.
Or, le web est également un monde de rapidité (donc d’absence de recul), d’émotions (donc non raisonné), de gratuité (donc de manipulations possibles). Le web ne touche aussi qu’une partie de nos intelligences.
Or, tout changement impacte l’ensemble d’un être humain. Dans ses dimensions cognitives, émotionnelles, professionnelles, physiques, sociétales, psychologiques, spirituelles, familiales (…).
Le passage du salariat à l’entrepreneuriat quelle que soit ses 4 formes principales (intrapreneuriat, Indépendant-autonome, créateur-développeur, repreneur) n’y échappe pas. Avec l’enjeu financier, bien réel.
Au risque d’échec inhérent à toute création d’entreprise, s’ajoutent les risques humains et sociaux. Sécuriser les personnes s’exposent ou qui y sont contraints par une vie salariale chahutée est donc une nouvelle nécessité.
Les consommateurs sont avertis du contenu des produits alimentaires « garanti sans phosphate, sans OGM, sans gluten etc …, les épargnants protégés des risques inhérents à l’investissement « les résultats d’hier ne présagent pas des résultats de demain », les acquéreurs immobiliers des risques de plombs, amiante ou autres thermites, les acquéreurs de voiture de tout défaut technique de sécurité. Même les citoyens ont accès au patrimoine et engagements divers de leurs élus
Qu’en est-il de l’ex-salarié, encore en posture subordonnée ou consommateur, parfois chômeur découragé ou salarié usé ? Savent-ils/elles choisir ceux dont ils ont besoin ? Savent-ils même ce dont ils ont besoin, au-delà des promesses d’accompagnement que tous leur font ? Comment les protéger des publicités qui promettent la réussite, l’argent et l’entrepreneuriat facile ou garantit ??
En quoi une certification / accréditation peut apporter la sécurité dans les choix d’orientation entrepreneuriale ? Comment la définir, la construire avec les parties prenantes. Le codéveloppement et la supervision sont-ils des attendus additionnels ou de rigueur ?
Ce thème sera débattu lors d’un atelier dans le cadre de la journée organisée par l’OMA Observatoire des métiers de l’accompagnement L’accompagnement revêt une importance capitale pour maintenir une harmonie sociale et aider à l’adaptation indispensable, de toutes les catégories de la population. Les impacts psychologiques et physiologiques sont aujourd’hui démontrés, et pas seulement sur la santé au travail. L’OMA se fixe comme mission : d’étudier, analyser et décrypter les évolutions actuelles et futures des divers métiers dans tous les domaines de l’accompagnement social, éducatif, professionnel, technologique ou familial.
La FNPAE se réjouit d’être associée à ce type de démarche en amont de ses Assises annuelles chaque 10 décembre
contact@fnpae.org
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Participez au grand débat en une seule question : un(e) stagiaire, un(e) bénéficiaire d’accompagnement doit-il savoir par QUI il sera accompagné, formé ou conseillé ?
Ou contactez-nous pour faire remonter vos analyses, suggestions, pratiques de référence
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