L’accompagnement entrepreneurial  fertile

L’économie d’aujourd’hui appelle des accompagnements ajustés pour bien orienter les salariés parfois déçus de certains environnements, d’autres exclus du travail, d’autres encore porteurs d’idées, r^ves ou solides projets…
Une part du million de créateurs peut faire émerger des entreprises pérennes, innovantes et responsables. (voir notre webinar ), une autre justifie d’autres solution entrepreneuriales que la création de SIRET et l’exposition solo aux risques de marchés complexes voire difficiles.

L’hyper demande d’entrepreneuriat (+de 10 millions de salariés déclarent vouloir créer) masque l’échec de management qui ne donnent pas assez d’autonomie, de responsabilité et de partage des richesses.

Pour 80 % des « créateurs contraints » (fuite de certains management, plafond de verre, épuisement ou recherche emploi infructueuse), l’émergence de projets forts, ambitieux, collectifs est possible.
Eviter l’isolement, la précarisation, l’ubérisation est possible .
Conserver les sécurités salariales et pouvoir travailler collectivement est possible.

L’hyper demande pour la création tient en fait de l’ignorance des opportunités salariales dans les TPE/PME (marché caché de l’emploi) où les contrats d’incubation et de succession-reprise sont également mal connus.

Elle tient aussi de la pression marketing d’acteurs qui vivent du démarrage, des premières années et … trop peu de la fertilité.

Elevons le niveau de culture et posture entrepreneuriale des exsalariés.
Ouvrons les à la formidable diversités des modèles entrepreneuriaux *  , aux découvertes personnelles et professionnelles d’une transition réfléchie.
* plus de 20 manières d’entreprendre travaillées via les méthodologies de Bilan de compétences entrepreneuriales FNPAE

Moins de 30% d’entrepreneurs sont accompagnés, 70% sont en risque de précarisation  (via le numérique, donneurs d’ordres, experts, hyper sollicitations commerciales, …)
Or, l’accompagnement authentique, assure la perspective de 80 % de réussite à 5 ans.

Les créateurs seraient ils masochistes ?
Non. Ils sont seulement mal informés et poussés à se lancer vite. (voir notre webinar)

La FNPAE se fixe pour objectif :
– la promotion de l’accompagnent professionnalisé à l’Entrepreneuriat, valorisant les apports en développement des compétences/posture/savoir-être des créateurs
– le déploiement de Diagnostics ou  Bilans de Compétences Entrepreneuriales indépendants,
– la pérennité des créations à 5 ans en s’appuyant sur le développement d’une vraies dynamique de parties-prenantes autours des créateurs.
– la prévention de la « malfaçon entrepreneuriale » dont les dommages sociaux, économiques et humains sont mal connus.

Un peu d’histoire

En 2010, plusieurs professionnels de réseaux d’accompagnement (Plans sociaux, PDV notamment) différents se sont retrouvés au sein d’un collectif indépendantIls constataient que moins de 30% d’entrepreneurs sont accompagnés et que la création servaient, déjà, le prétexte statistique ou commercial pour des DRH ou partenaires sociaux sans autre culture entrepreneuriale que le choix du statut et le maintient des allocations pôle emploi.

La finalité des accompagnements (financiers, juridiques, comptables, web, humain, …) devaient déjà être clarifiée et présentées aux financeurs pour apprendre aux créateurs à se repérer en toute autonomie.
Les expert-comptables consciencieux ont autre chose à faire (et ce n’est pas leur métier) que de vendre du prévisionnel et des statuts à des créateurs qui n’ont pas finalisé leur modèle économique et leur projet.
Toutes les banques ne font pas forcément pour seul commerce de l’ouverture de compte en échange de l’illusion de devenir start-upeur.

Eclaircir les démarches relevant de parcours divers est aujourd’hui encore possible pour faire gagner  temps, énergie et argent.
Encouragements à l’innovation, l’accompagnement social, ouverture de commerces en zone défavorisées, auto-entrepreneuriat, animation territoriale, reprise d’industrie ou d’artisanats … sont autant d’opportunités spécifiques.

En 2010 et 2011 les contacts avec les institutions publiques et financeurs avaient conforté une analyse au combien d’actualité aujourd’hui.
La fragilisation des créateurs amplifie les effets et les coûts financiers et sociaux des crises.

Après les Assises de l’Entrepreneuriat 2013, puis la relance de l’APCE (AFE à l’époque ) en 2015, puis les dernières Assises le 4 février 2020) (#intelligenceentrepreneuriale), ils relancent leur action en constatant que l’écosystème de la mobilité professionnelle et de la reconversion peut encore se professionnaliser.
L’heure est venue de combler un « trou dans la raquette » : la pédagogie de transition entrepreneuriale.

La première cartographie des compétences en Accompagnement entrepreneurial sera bientôt publiée.
En tant que professionnel de l’Accompagnement, en 2 minutes à peine, nous vous invitons à y répondre.
Vous recevrez en exclusivité les résultats.