Le Tiers de confiance entrepreneuriale, le maillon
fort au service de la transition entrepreneuriale fertile

1️⃣ Strictement indépendant des prestataires de la création (délivrant à titre subventionné, sponsorisé ou payant une presta) ou financeurs publics ou privés.
2️⃣
Professionnalisé quant aux enjeux économiques , humains et sociaux/sociétaux des entrepreneuriats de toute nature.
3️⃣
Signataire d’une déontologie professionnelle dont il s’engage à faire superviser, évaluer sa propre pratique, fondant l’autonomie et la liberté de l’entrepreneur comme finalité de son action et la mesure d’impacts comme repère de son efficacité.

Il est à l’entrepreneur..
Ce que le généraliste est aux spécialistes, pharmaciens, labos
Ce que le conseil en évolution professionnelle salariée est aux acteurs de la formation, recruteurs,

Ce que le diagnostic thermique, termite, plomb (…) est aux agents immobiliers ou notaires
Ce que l’orientation scolaire est à la réussite des jeunes
Ce que tout tiers d’expérience désintéressé et légitime pour le faire est à celui qu’il accompagne

Pourquoi le Tiers de confiance est devenu l’acteur de l’accompagnement responsable à l’entrepreneuriat ?
La diversité des formats d’entrepreneuriat créé aujourd’hui de belles opportunités pour les aspirants à entreprendre. (35 % des salariés selon IPSOS nov 2023 désirent quitter leur entreprise pour créer la leur)

1 million de créateurs chaque année, c’est aussi une opportunité pour qui vends ses solutions numériques, formation, accompagnements, incubation, couveuses, financement …

Les ex-salariés s’y retrouvent-ils pour autant ? (40 % de ceux qui en rêve ou qui démarre ont à opérer d’abord un travail sur leur culture et posture source Stat & More juin 2023)

77% des entrepreneurs créaient et démarraient seuls avant la crise avec une mesure de pérennité sur 5 ans. La pérennité est aujourd’hui officiellement comptabilisée sur 3 ans …

Or, Il faut du temps pour entrer dans le nouveau costume d’entrepreneur, surtout quand celui-ci n’est pas forcément fait sur-mesure, industrialisation et numérisme « obligent ».
Une fois passés les allègements fiscaux et aides utiles pour démarrer, tenir la distance dans la vie réelle, est passionnant et exigeant.

Pus de 20 manières d’entreprendre existent.
Ici elles participent au renouveau du tissu économique et social, là elles servent d’autres intérêts.

D’autant que l’entreprise collaborative (entreprenante devrait-on dire), n’a pas été pour tous les salariés le cadre de leur vie professionnelle. Or, c’est le creuset naturel et puissant de l’intelligence entrepreneuriale,

Le métier et la vocation du tiers de confiance entrepreneuriale, s’inscrit dans cette utilité de clarifier les vision, les moyens requis et … le point de départ et le chemin.
Revenons à la base !

Entreprendre : acte de prendre le risque d’investir (argent, temps, énergie, compétences, relations) pour anticiper (ou provoquer) une relation de vente (de produits, services ) avec un public cible qui assurera à l’entreprise et l’entrepreneur par une bonne gestion les ressources (finances, temps, énergie, relations, compétences) de :
* Rembourser les investissements
* Payer les charges
* Rémunérer le travail (dirigeant / équipes)
* Préparer l’avenir (rose ou noir …)
* Rémunérer les risques…

Entreprendre ne peut être qu »intégral »  dans ses 3 dimensions :
– le développement économique (la création ou captation de valeur)
– le changement individuel (la mutation humaine et sociale)
– la responsabilité managériale (le pilotage organisationnel et sociétal)

Cette posture  suppose de décider et d’agir en pleine conscience des transformations personnelles, sociales et familiales que provoque le passage à une exposition complète aux risques et la responsabilité des actes.

=> c’est la 1ère mission pédagogique du Tiers de confiance entrepreneuriale formé aux  outils de coaching ou d’assessment spécifiques

=> La 2ème mission est donner aux futurs entrepreneurs une culture juste de l’accompagnement qui triple leur chance de succès

Accompagnement : Action de cheminer aux cotés d’une personnes dans des phases d’évolution du projet par des entretiens réguliers sur une période suffisamment longue pour que les bénéfices
puissent être constatés ou les correctifs identifiés.

L’accompagnement entrepreneurial est pluridisciplinaire (management, ressources humaines, marketing, gestion, juridique, financier, comptable, …).

Là où les experts, prestataires ou financeurs agissent de manière verticale, l’accompagnement à l’entrepreneuriat se situe dans une démarche de lien entre plusieurs disciplines.

Ceci concoure à rendre l’entrepreneur authentiquement autonome (apte à se poser lui même les bonnes questions ou initier ses adaptations).

Parce qu’il est indépendant et professionnalisé, le tiers de confiance atteste de cette dynamique de développement de l’intelligence entrepreneuriale qui est le coeur de la transition entrepreneuriale fertile.

La FNPAE s’est concentrée sur ces enjeux depuis 2010, aux bénéfices d’accompagnants ou prestataires de la création, soucieux d’exercer leur métier de manière efficace et responsable.

et … au bénéfice final des créateurs, futurs entrepreneurs

Les acteurs de l’accompagnement peuvent se concentrer sur des porteurs de projets en appétit réel d’être accompagnés. En ligne ou en présentiel ils peuvent faire la preuve de leurs valeurs ajoutées et leur impact que les financements publics (CPF) ne mesurent pas.

Acteurs investis dans l’orientation / accompagnement à la transition professionnelle rejoignez le mouvement

* Un test en ligne d’évaluation des professionnels est disponible pour les adhérents. Nous demander l’accès lors de votre adhésion.